Les 7 arbres de la connaissance
Ou l’art de vivre.
« Chacun, parce qu’il pense, est responsable de la sagesse ou de la folie de sa vie, c’est-à-dire de sa destinée. » – Platon
Les 7 arbres de la vie ou de la connaissance, comme les 7 jours de la création : entreprendre, apprendre, comprendre, prendre, communiquer, aimer et se reposer. « 7 pas à faire pour être heureux et trouver notre paradis terrestre ».
7 arbres basés sur les 3 niveaux de conscience (corps, âme, esprit), comparable à 3 tranches d’âges (âge d’enfance, âge adulte et âge cosmique ou spirituel). Et pour changer de niveau, dans chaque arbre, on grimpe de 7 en 7.
Prendre conscience que rien ne peut se faire qu’en conjuguant corps, âme, esprit. Entreprendre corps – âme – esprit, apprendre avec notre corps, nos émotions, notre raisonnement, comprendre de même et ainsi de suite. Pas question d’aborder la vie qu’avec une seule part de nous-mêmes !
Nous écouter au lieu d’écouter nos peurs qui, trop souvent, prennent toute la place et occultent les autres perceptions.
Comme nous le traduit si clairement Claude De Milleville, la règle du jeu de notre vie est simple mais elle ne peut être transgressée sans que nous en souffrions.
Si nous manquons une étape, nous pouvons retourner à la case départ, comme dans le jeu de l’oie.
Voici donc cette merveilleuse loi de la vie que nous dévoile la nombrologie.
Elle nous dévoile des principes d’une simplicité déconcertante que la nature, les animaux ou les jeunes enfants n’ont pas encore perdus.
Elle nous dit que nous avons notre libre arbitre, que les solutions sont en nous et que nous sommes maître à bord; Qu’il est préférable de passer par les portes ouvertes, par ce qui nous est le plus facile et ce qui nous procure le plus de plaisir. Malheureusement c’est la difficulté qui est souvent valorisée dans nos sociétés.
La facilité et le plaisir ne le sont pas, voire suspectés. Pourtant, jamais une plante ou un animal ne va se faire mal pour vivre. Une plante qui rencontre un obstacle va le contourner, un animal qui n’aime pas l’eau, va l’éviter.
Quant à l’échec – parlons plutôt de mauvaise expérience – ce n’est pas une malédiction mais une leçon qui nous sera bénéfique si nous en comprenons le sens, et seulement dans ce cas. Quand l’enfant apprend à marcher, il ne s’arrête pas à la première chute en se demandant pourquoi il n’a pas réussi du premier coup. Il ne déprime pas sur le nombre de fois qu’il lui aura fallu pour réussir. Il sait au plus profond de lui que la marche est une étape indispensable à son développement et il y arrivera sans se poser de question.
La vie ne doit pas forcément être triste ou dure pour mériter d’être vécue.
Partez de ce principe et faites-vous confiance !